L’ultra propreté dans le secteur médical : quels matériaux sont les plus utilisés ?

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Si les petites poussières et autres débris microscopiques ne sont pas catastrophiques dans certains lieux (bureaux, magasins, etc.), il existe cependant des endroits où la moindre particule de salissure, aussi infime soit-elle, n’est aucunement tolérée, car considérée comme potentiellement nuisible. En tête de file de ces milieux particulièrement exigeants en matière d’hygiène, figurent les structures hospitalières, qui, dans le cadre du maintien de l’ultra propreté, utilisent divers matériaux spécifiques. Focus !

Atteindre le summum de l’hygiène, une nécessité en milieu médicalisé

Un niveau d’assainissement optimum, un degré de propreté menée à son paroxysme : c’est bien ce à quoi fait référence le mot « ultra », placé devant « propreté ». Il ne s’agit pas là de mesures classiques, associant des coups de balai ou l’utilisation d’un aspirateur, ou encore le nettoyage des carreaux, vitres et murs au moyen d’un simple chiffon imbibé d’un produit spécifique. Quand il est question d’ultra propreté, il faut plutôt penser en termes de décontamination et de stérilisation, impliquant bien souvent le recours à des professionnels du domaine comme Conformat.

Dans les hôpitaux, les mesures pour le maintien d’un niveau d’hygiène optimum vont même plus loin, avec la sollicitation d’experts en qualité de l’air, en biologie et en analyse de tout ce qui est susceptible de porter préjudice aussi bien au personnel qu’aux patients, même à des échelles infinitésimales. Et pour cause, les personnes recourant à des services de santé sont le plus souvent à des stades avancés de leur maladie, autrement dit suffisamment affaiblis pour être vulnérables aux plus petits microbes.

C’est précisément ce qui justifie la délicatesse et les enjeux de l’ultra propreté dans le secteur médical : la moindre erreur ou négligence en matière d’hygiène et d’assainissement peut entrainer une baisse drastique et parfois irrémédiable des chances de survie aux états pathologiques les plus sévères ! Aussi, pour éviter d’assombrir le pronostic des patients, la plupart des hôpitaux et autres structures de santé recourent de plus en plus à des solutions avancées visant à maintenir une asepsie optimale.

Les matériaux les plus utilisés dans le secteur médical

Bien que divers outils puissent s’avérer utiles dans le cadre de l’instauration et du maintien de l’ultra propreté en milieu hospitalier, il en existe qui se révèlent plus efficaces, et qui sont donc beaucoup plus employés, pour ne pas dire incontournables. C’est notamment le cas des plafonds filtrants de type flux unidirectionnel. Ils sont recommandés au sein des zones à fort risque de contamination, les salles d’opération de risque 3 ou 4 en l’occurrence.

Parmi les matériaux les plus utilisés en matière d’ultra propreté hospitalière, figurent également les systèmes de prise de pression, qui sont associés aux matériaux de filtration. En effet, pour optimiser la salubrité d’une salle d’opération, tous les filtres doivent être  régulièrement nettoyés, désinfectés ou changés en cas d’encrassement ou de dommage. En mesurant la tension du matériel de filtrage en amont, les systèmes de prise de pression permettent de vite détecter les anomalies, imprimant ainsi la fréquence d’entretien ou de remplacement des filtres dans les plafonds et caissons hyperbares.

L’utilisation de détergents spécifiques est également très fréquente dans le cadre de l’ultra propreté hospitalière, à des fins de nettoyage, de dépollution et de stérilisation. Bien entendu, il s’agit uniquement de produits conformes aux normes en vigueur !

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