Quel régime alimentaire suivre pour avoir un garçon ?

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Bon  nombre de personnes souhaitent de nos jours choisir le sexe du bébé qu’elles souhaitent, bien avant de le concevoir. C’est surtout le cas d’une famille dont plusieurs des enfants ont été du même sexe. Il a été découvert récemment que pour influencer le sexe du bébé, un régime alimentaire très précis est recommandé.

Les aliments à privilégier pour avoir un garçon

De nombreux parents se demandent comment avoir un garçon ? Actuellement, grâce à des études et des tests profonds, on pourrait désormais choisir le sexe de son futur bébé. En effet, une alimentation équilibrée augmente le taux de la fertilité. Des études plus approfondies ont découvert qu’un régime particulier permet d’influencer le sexe de l’enfant à venir.

Il a ainsi été conclu que pour augmenter la chance d’avoir un garçon, il faut privilégier la consommation d’une alimentation riche en sodium et en potassium. Selon cette théorie, une femme avant de concevoir le bébé et au cours de sa grossesse doit suivre un régime à base de viandes, de poissons, de charcuterie, de bananes, d’abricots secs, de figues, de pruneaux, de châtaignes, de cerises, de pêches, de pommes de terre, de champignons, d’artichaut, d’ haricots blancs secs, de lentilles, de pois, de chocolat noir, de sucreries et de gâteaux.

Tous les jus de fruits sont permis, ainsi que le thé, le café et  les eaux minérales riches en sodium. Ils renforcent le développement du chromosome Y. Toutefois, il faut faire très attention car toutes les personnes sujettes à des cas d’hypertension doivent consommer le sel modérément.

Ce qu’il faut éviter à tout prix

Il n’est toujours pas facile d’avoir un garçon. En effet, ce régime présente certaines contraintes de santé. Il peut produire des conséquences graves pour la santé et conduire à des carences. Voilà pourquoi, il est toujours essentiel de demander l’avis d’un médecin avant de prévoir ce type de régime. Ainsi, pour être sûr d’obtenir un garçon, il faut suivre strictement le régime sans écart et sous la surveillance permanente d’un médecin.

Voici ce qu’il faut faire. Il faut commencer le régime deux mois et demi avant de concevoir le bébé. Ensuite, il faut réduire la consommation des laitages. Tous les produits laitiers ainsi que le lait doivent être bannis du régime comme les fromages, les beurres, etc. Il en est de même pour les coquillages, les crustacés, les œufs, le pain complet sans sel, les pâtisseries à base de lait, les crêpes, les fruits secs, les salades vertes, les choux crus, les épinards et la moutarde. Il faut donc tenir en compte qu’un pH basique est idéal pour les spermatozoïdes Y.

D’autres conseils utiles pour avoir un garçon

Le choix du sexe de bébé est conditionné par différents paramètres. Pour cela, voici quelques astuces qui peuvent aider la future maman à choisir convenablement le sexe de son bébé. Pour avoir un garçon, il faut bien se préparer avant de faire l’amour. Le but étant de favoriser le passage des chromosomes Y et de  bloquer les spermatozoïdes qui portent le chromosome X. Ici, le pH basique est tout aussi important, car il est accueillant pour les spermatozoïdes responsables de la conception des petits garçons.

Comment est déterminé le sexe d’un bébé lors de la conception ?

Le sexe d’un bébé dépend du rencontre du sperme avec l’ovule. Les hommes produisent des millions de spermatozoïdes lors de l’éjaculation. La moitié de ces spermatozoïdes peut être codée avec un chromosome X et l’autre moitié le chromosome Y. Les ovules de la femme, quant à elle, sont codés avec le chromosome X féminin. Les hommes qui ont une prédominance des enfants masculins ont beaucoup de spermatozoïdes Y que de spermatozoïdes X (femelles). Ces derniers ont une forme plus lourde et plus grosse que les spermatozoïdes Y à la forme plus légère.  Les spermatozoïdes masculins survivent aussi plus longtemps dans le col de l’utérus et de l’utérus tandis que l’environnement acide du canal du vagin favorise la survie des spermatozoïdes féminins.

Cette explication indique qu’outre l’alimentation,  la programmation des rapports  sexuels pourrait influer aussi sur le sexe du bébé. Les rapports sexuels entre la période de menstruation et les jours avant les menstrues favorisent la conception d’une fille, tandis que les rapports sexuels le jour de l’ovulation et les 2 ou 3 jours après optimisent la chance d’avoir un garçon.

La position sexuelle comme la pénétration par derrière et les douches vaginales peuvent également aider dans la conception d’un bébé mâle. Soulignons toutefois que ce dernier conseil n’est pas sans risque car il peut altérer l’équilibre de la flore vaginale et entraîner des infections.

En fait, ces explications ne sont pas scientifiquement prouvées. Elles ne font donc  pas l’unanimité des chercheurs qui prennent aussi en considération la qualité de la glaire cervicale, le changement de la température basale du corps… Et puis, d’autres recherches ont démontré aussi que les rapports sexuels après l’ovulation pourraient ne pas conduire du tout à la grossesse. Le seul moyen de s’assurer que le sexe de son enfant soit mâle serait alors de faire un diagnostic génétique préimplantatoire  dans le cadre d’une fécondation in vitro.

Existe-t-il des interventions médicales pour la conception d’un bébé mâle ?

Il est d’abord intéressant de noter que malgré un régime alimentaire riche en potassium et en calories, le fait d’avoir un garçon ou fille est déterminé en plus par le père. Autrement dit, les chromosomes de sperme ne suffisent pas pour déterminer le sexe du bébé, la prédisposition génétique du père entre aussi en jeu dans le sexe du futur enfant.

Un homme peut ainsi hériter de ses parents et de ses arrière-grands-parents la tendance à concevoir des filles ou des garçons. Quoi qu’il en soit, pour ceux qui souhaitent à tout prix avoir un bébé avec un testicule, ils peuvent recourir à une intervention chirurgicale. Parmi les méthodes permettant d’avoir un bébé masculin ou féminin, on retrouve :

  • la fécondation in vitro : La FIV consiste à favoriser la fusion d’un spermatozoïde et d’un ovule en laboratoire afin d’avoir un embryon. Mais le taux de réussite de cette procédure est faible, 20 % seulement.
  • le transfert  intrafallopien de gamètes : une technique utilisée pour les couples aux prises avec l’infertilité masculine.
  • le transfert intratubaire de zygotes.

Toutes ces techniques nécessitent une bonne qualité de sperme de l’homme, et une patiente sans problèmes utérins comme les fibromes, les kystes, la grossesse extra-utérine etc.

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