A priori, les moustiques ne peuvent pas transmettre le MST – VIH/SIDA. Mais il est vrai qu’elles sont capables de transmettre le virus de beaucoup d’autres maladies mais non pas celle du MST ni du SIDA. De nombreuses études ont été menées et il en ressortait que le VIH/SIDA ne pouvait pas être contaminé par la piqure de moustiques. En effet, le virus du SIDA ne peut pas se répliquer dans les piqures des moustiques ni des autres insectes comme les puces ou les punaises. Pour que le virus du SIDA soit transmis, il faut qu’il y ait un récepteur et porteur après, alors que les moustiques ne possèdent même pas de récepteur donc impossible pour eux de les transmettre.
En fait, les moustiques eux-mêmes ne peuvent pas être contaminés par les virus du SIDA qui sont détruits et digérés à l’avance dans son estomac. En plus de tout cela, lorsque les moustiques piquent une personne, ils aspirent du sang par le canal alimentaire et inoculent de la salive urticante par un autre canal, un phénomène qui ne leur permet à aucun moment de régurgiter du sang au cours de la piqûre sur une autre personne. Si vous avez des moustiques dans votre domicile, mieux vaut contacter une entreprise qui lutte contre les moustiques, des traitements efficaces et écologiques existent sur le marché.
Normalement le virus du SIDA est très fragile et survit très peu de temps dans le corps du moustique, il ne peut donc pas se multiplier et disparaîtra rapidement. Enfin les moustiques ne peuvent pas piquer plusieurs fois car ils digèrent d’abord le repas obtenu en même temps éradiquer le virus dans son estomac. En conclusion, les virus du MST VIH/SIDA ne se transmettent pas par la salive des moustiques ni par la salive des êtres humains.
Mais pourquoi le virus du MST/VIH SIDA ne peut-il pas être transmis par les moustiques ?
En fait, les cellules du système immunitaire infecté sont les terrains favorables pour le virus du SIDA de se reconnaître eux-mêmes. Ce virus se fixe et se multiplie seulement dans les lymphocytes T4 des cellules immunitaires humains, qui ne sont pas présentes dans la morphologie des moustiques. En plus de la durée de vie du virus du MST/VIH SIDA très courte, il ne survit pas à un changement très brusque dû à l’acidité de la salive des moustiques pas comme la salive des êtres humains.
Et même si le virus arrive à supporter l’acidité de la salive du moustique, son besoin en protéine n’est pas suffisant pour ouvrir la membrane des cellules qui composent la paroi des organes du moustique, membrane que le virus du SIDA ne possède pas. Enfin le virus ne peut pas se multiplier dans le corps du moustique car ils ne possèdent pas de lymphocytes T4, il n’a donc pas de chance de se répandre dans l’organisme du moustique.
En tout état de chose, le virus n’atteindra jamais les glandes salivaires des moustiques, les seuls moyens de contaminer les êtres humains, même s’il injecte sa salive anticoagulante dans le corps de l’homme. Par contre, les maladies comme le chikungunya, la dengue, le paludisme sont transmises par certains moustiques dangereux et ces maladies sont déclarées mortelles en cas de négligence.
Comment se transmettent les MST ?
Généralement, les MST/SIDA se transmettent par les relations sexuelles avec pénétration vaginale, la mononucléose infectieuse est transmise par les baisers profonds, toutes sorte les pratiques bucco-génitales, et le cunnilingus ainsi que la fellation. Cependant, il y a plusieurs risques d’attraper les MST. Ne jamais partager des objets personnels, la masturbation à éviter… Au Brésil, dernièrement on a trouvé un virus du transmettant le MST, venu par l’intermédiaire du tourisme, Zyka. Ce virus est très dangereux qu’il faut se protéger avec du spray répulsif. La maladie du baiser est causée par le virus d’Epstein-Barr. Ce virus transmet l’herpès HSV-1 et le HSV2.
L’herpès n’est pas guérissable mais reste en veille dans le corps et lorsque le système immunitaire est affaibli, alors la maladie revient toujours. On dit qu’avec le sexe oral on se transmet la syphilis, l’herpès, la gonorrhée, la chlamydia, le VPH (un virus qui cause les verrues génitales et autres types de cancer des organes génitaux). Le trichomonas peut être transmis si une serviette est utilisée par beaucoup de personnes.
Toutefois, dans les hôpitaux, les seringues doivent être individuelles pour éviter de contracter des maladies du VIH, de l’hépatite fulminante, une sorte d’hépatite aiguë grave que l’on appelle aussi nécrose. Il ne faut pas non plus négliger le choix du partenaire pour l’acte sexuel, à vrai dire il faut rester fidèle à une personne. Les personnes qui vivent dans les grandes villes sont beaucoup plus à risque d’attraper les MST que les gens ruraux ainsi que ceux des pays en voie de développement.
Quelles éviter de contracter les MST ?
Il existe mile et une façon d’éviter de contracter les MST. Après chaque rapport sexuel faire une toilette automatique. Mettre autant que possible des sous-vêtements en coton plutôt que ceux en matière synthétique. Savoir limiter le nombre de partenaires sexuels, éviter même les contacts avec les personnes atteintes d’une MST ou les personnes à risque. Toujours utiliser des préservatifs et ne pas oublier non plus d’uriner après chaque rapport sexuel.
Après un rapport sexuel à risque, tout de suite diagnostiquer car plus une MST est traitée, plus elle se guérit rapidement. Dès que l’organe sexuel semble anormal par l’apparition d’écoulement suspicieux, consulter d’urgence un spécialiste pour les traitements à faire. En plus de tout cela, un des moyens d’éviter d’attraper les MST est de rester fidèle, l’idéal serait de ne jamais changer de partenaire. Pour le cas de toujours vouloir changer de partenaire sexuel, alors il faut être vigilant sur le choix de la personne pour ne pas tomber dans les bras de quelqu’un qui est déjà affecté par une MST.
Délicatement, aborder la conversation de MST au partenaire et demander son état de santé sur le sujet avant d’entamer quoi que ce soit. La prise d’alcool ou la drogue n’est pas conseillée car on risque de mal mettre le préservatif ou de l’abîmer ce qui pourrait entraîner un rapport sexuel à risque. Si possible l’abstinence au rapport sexuel de quelque nature que ce soit (oral, vaginal, anal) est le plus sage comportement.
