L’incontinence urinaire chez la femme : un souci de santé qui n’est pas une fatalité

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Une pathologie qui affecte une grande majorité des femmes, l’incontinence urinaire n’est pas toutefois irrémédiable. En effet, elle peut occasionner certains gènes chez la femme qui est atteinte, mais il existe toutefois des solutions qui permettent de mieux gérer la maladie avant de se fixer pour une chirurgie.


Une maladie qui peut arriver à tout le monde

Un sujet qui reste encore tabou jusqu’à nos jours, l’incontinence urinaire est une pathologie qui peut affecter toutes personnes. Les plus âgées seront les plus souvent sujettes à ce problème de santé, mais les jeunes ne sont pas également épargnés. Plus d’informations l’incontinence urinaire sur: http://www.incontinence-protection.com/

Les femmes sont des plus nombreuses à être atteintes par l’incontinence urinaire par rapport aux hommes, les risques d’en être affectés étant plus nombreux chez les femmes.

C’est toutefois un problème de santé qui peut être soigné ou du moins contrôlé. De la rééducation périnéale à la chirurgie comme dernier recours, les solutions sont nombreuses et seront proposées par les médecins pour chaque cas.

Les différentes solutions pour traiter l’incontinence urinaire

Des solutions existent pour le traitement de l’incontinence urinaire, qu’elle se présente chez les adultes, les personnes âgées ou encore les jeunes et les enfants. Si le surpoids, le tabac, les efforts trop intensifs et réguliers ou les comportements pouvant générer de fortes pressions sur le périnée sont les facteurs de risques, les médecins conseillent fortement de les éviter autant que possible.

La meilleure chose à faire étant d’ailleurs de consulter un médecin et d’en parler dès les premiers signes qui se présentent, comme les premières gouttes de fuite urinaire.

Pour chaque cas, qu’il s’agisse d’incontinence par urgenturie, d’effort ou d’hyperactivité, après examen et consultation par les médecins ou les urologues, les traitements peuvent s’agir de rééducation périnéale, des traitements médicamenteux, de l’injection de toxine botulique et en dernier recours la chirurgie.

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