Qui ne rêverait pas d’avoir une apparence physique jolie et belle ? Pour y arriver, certains d’entre nous font recours à la chirurgie esthétique. Mais derrière cette envie de changer de look, la crainte de la douleur pendant l’intervention nous appréhende énormément. De nous jours, les chirurgiens offrent aux clients le plus grand confort possible c’est à dire la moindre douleur. Une consultation préopératoire s’impose pour indiquer nos antécédents, les éventuelles allergies ainsi que d’autres facteurs qui pourraient provoquer des risques pendant l’opération. Donc normalement, durant la chirurgie esthétique, aucune douleur n’est ressentie car les anesthésies sont très efficaces. Cependant, la douleur après l’acte chirurgical est incontournable car les organes ont subi une modification avec des instruments tranchants et fixes, le bistouri ou le scalpel …
La lipoaspiration et le resserrement des muscles du ventre ainsi que la pose de prothèses mammaires sont les chirurgies esthétiques génératrices de douleurs. Un cachet antidouleur est à prendre pendant les quelques heures après la chirurgie. Néanmoins, après une chirurgie plastique, non seulement la douleur se fait sentir au jour comme la nuit mais le moral du patient baisse et nécessite une séance d’accompagnement psychologique.
Toutefois, cette baisse de moral n’est que passagère, après avoir constaté le bon résultat de l’opération. Enfin en ce qui concerne les activités quotidiennes, il est impératif de rester en convalescence surtout après les interventions plus lourdes notamment lors des implants qui sont posés. Dans le cas d’une chirurgie des fesses, le patient doit rester au lit vu qu’il ne peut même pas s’asseoir pendant une quinzaine de jours.
Qu’en est-il après une pose de prothèse mammaire
Souvent la douleur pour le cas de l’augmentation mammaire est inévitable après ce genre d’intervention. La prise de cachet antalgique réduirait cette douleur. Les douleurs postérieures à une chirurgie d’augmentation mammaire par prothèses sont variables voire tolérables. Supporter la douleur varie d’une patiente à une autre, certaines ressentent tout simplement une légère gêne tandis que d’autres plus sensibles ressentent des douleurs affirmées. L’intensité de la douleur dépend aussi du volume de l’augmentation mammaire demandée. Plus l’implant a un volume important, plus les douleurs postopératoires sont intenses.
En plus, lorsque les prothèses mammaires sont positionnées sous le muscle pectoral alors les suites de la chirurgie peuvent devenir douloureuses, par contre si elles sont positionnées derrière la glande mammaire donc devant le muscle, les suites postopératoires sont moins douloureuses. Enfin la patiente peut ressentir une légère fatigue, une sensation de douleur inhabituelle ne dépassant pas les 15 jours. Si par conséquent, les douleurs persistent au-delà de ce délai, alors le chirurgien peut prescrire la prise d’antalgique de niveau 1 (Paracétamol), voire des antalgiques de niveau 2 (Codéine ou Diantalvic) ou encore en cas d’exception des opiacés. Un grand repos au lit s’impose également après ce type de chirurgie.
La chirurgie esthétique du nez suscite des craintes de douleur
Nombreux sont ceux qui optent aussi pour la rhinoplastie dans le but d’avoir un nouveau visage. L’intervention est caractérisée par l’injection d’acide hyaluronique pur qui vient combler les zones creuses du nez. Cette méthode permet aussi de réduire la visibilité de la bosse dorsale du nez et confère aussi un support à la pointe du nez. En conséquence, cette injection donne une sensation de crainte sur le geste chirurgical du praticien, sur l’os nasal et les cartilages latéraux du nez. Or, en toute sincérité, la chirurgie esthétique du nez n’est pas très douloureuse, seule la présence d’ecchymose sous les yeux pendant deux semaines occasionne une gêne, ainsi qu’une petite piqûre de temps en temps.
Si auparavant, la chirurgie esthétique en rhinoplastie était consacré à des poses de mèches intra nasales, une méthode ressentie douloureuse, actuellement elle a été remplacée par une attelle en silicone fixé contre la cloison nasale. Ces plaquettes de silicone permettent de stabiliser et éviter les saignements au niveau du septum nasal. L’évolution de la technologie des techniques de chirurgie esthétique de la rhinoplastie a enlevé la crainte des douleurs au niveau des patients vis-à-vis des chirurgiens. De nos jours, il existe des alternatives pour une bonne modification du nez : la rhinoplastie chirurgicale et la rhinoplastie médicale. Le second procédé ne requiert aucune injection d’anesthésie générale et l’intervention sera réalisée dans un cabinet médical. Le coût reste toujours le moins coûteux par rapport à la rhinoplastie chirurgicale et le résultat est tout de suite visible immédiatement.
Toujours sur ce procédé, l’injection d’acide hyaluronique se fait en deux étapes et espacée de 10 à 15 jours mais ne pourra pas corriger malheureusement les imperfections esthétiques du nez. La rhinoplastie médicale est conseillée d’être une complémentarité d’une rhinoplastie chirurgicale faite en amont. Les retouches pour cacher les menus résiduels du nez sont possibles par ce procédé. Elle est d’ailleurs reconnue la moins douloureuse parmi les chirurgies esthétiques de nos jours. L’attente des patients intéressés pour la transformation nasale demande une étude approfondie de la forme et structure du nez.
Chirurgie esthétique et douleur
Lorsqu’on parle de chirurgie esthétique, reconstructrice ou acte de médecine, la douleur après ces interventions s’ensuit automatiquement. Les interventions touchant les muscles sont les plus douloureuses, viennnent ensuite les implants des fesses et de mollets. En fonction des zones traitées, les lipoaspirations peuvent être aussi douloureuses. Il en est de même pour l’abdominoplastie et le bodylift qui s’avèrent douloureux au premier pas après l’intervention. Il a été conclu aussi que les liftings de bras et de cuisses sont douloureux mais non pas intenses.
En contre partie de tout cela, ces douleurs sont entièrement contrôlées par les médicaments injectés en postopératoire. Aujourd’hui la pharmacologie contrôle très bien la notion antidouleur et est devenue importante dans le domaine de la chirurgie moderne et de la médecine. De notre époque, les intensités et toutes sortes de douleurs sont généralement maîtrisées après chaque intervention que les gens n’hésitent plus à se faire opérer, se faire transformer une ou des parties du corps.
Ils choisissent les meilleurs chirurgiens pour modifier le nez, le menton, poser des prothèses mammaires …et même la crainte de la douleur pour une nouvelle intervention disparaît après avoir obtenu le résultat tant attendu.
